C’est ce qu’on appelle du fayotage.

Comme depuis plusieurs années, l’équipe de France féminine ne semble pas soudée avec sa sélectionneuse, Corinne Diacre. Son dernier choix contesté ? Se priver d’Eugénie Le Sommer, meilleure buteuse de l’histoire des Bleues, et d’Amandine Henry, taulière du groupe. Valérie Gauvin, sélectionnée par l’ancienne coach de Clermont, s’est muée, ce jeudi pour l’AFP, en élève du premier rang, vantant les mérites de sa prof. « Aujourd’hui, il y a plus de facilités à discuter, elle est complètement ouverte à la discussion », déclare la joueuse d’Everton.

Une sélectionneuse plus ouverte et donc « pas du tout » distante selon l’attaquante. Puis la lèche continue lorsqu’elle évoque ses liens et ses échanges avec Diacre : « Notre relation est très bonne, ça se passe bien. Il y a des discussions quand il faut en avoir. Sur des questions tactiques ou autre, on peut échanger s’il y a des choses incomprises. Elle nous donne des réponses pour trouver des solutions sur le terrain. Et je donne le maximum pour essayer de répondre le mieux possible à ses attentes », explique celle qui cartonne chez les Toffees (8 matchs, 5 buts), mais qui n’a plus marqué en sélection depuis le 23 octobre 2020.

Si Diacre cherchait une avocate, alors elle l’a trouvée.