- Mondial 2022
- Gr. C
- Argentine-Arabie saoudite (1-2)
Les notes d’Argentine-Arabie saoudite
Le Mondial 2022 tient sa première surprise, avec un cerveau à la tête du casse saoudien : Hervé Renard.
Défenseurs
Hervé Renard
La dernière fois que l’Argentine a autant été mise en déroute, c’était aux Malouines.
Hervé Renard
116 note(s)
Nicolás Tagliafico
Décidément, les temps sont durs pour la gauche argentine. Remplacé par Acuna (70e), mais pas Mateta.
Nicolás Tagliafico
59 note(s)
Cristian Romero
À chaque Mondial, l’Argentine fait peur. Et à chaque Mondial, un Romero la plombe. Remplacé par Martinez (59e), à peine plus luxueux.
Cristian Romero
53 note(s)
Nicolás Otamendi
La pire défense de l’histoire face au siège saoudien. Fort Al-Amo.
Nicolás Otamendi
63 note(s)
joueurs
Salem Al Dawsari
Devinez qui est l’homme du match ? Salem alaïkoum Lionel !
Salem Al Dawsari
80 note(s)
Firas Al-Buraikan
Un attaquant qui ne marque pas et passe son temps à défendre comme un chien. Al-Giroud en 2018. Remplacé par Asiri (89e), qui a pu jouer quinze minutes grâce au nouveau temps additionnel.
Firas Al-Buraikan
47 note(s)
Attaquants
Saleh Al Shehri
Apparemment, la clim dans le Lusail Stadium n’était pas du goût d’Al Shehri, qui s’est chargé d’effectuer un petit réglage à la 48e minute. Remplacé par Al-Ghannam(78e), histoire de souffler.
Saleh Al Shehri
57 note(s)
Lautaro Martínez
Le football sans son Romelu, c’est tout de suite moins facile.
Lautaro Martínez
61 note(s)
Lionel Messi
Le seul but messiesque du match a été inscrit par un Saoudien. Pas con, Nasser, qui garde au chaud la vraie Pulga en envoyant son sosie au Qatar.
Lionel Messi
87 note(s)
Ailiers
Hassan Al-Tambakti
Après avoir revu les critères de calcul du temps additionnel, la FIFA renomme le hors-jeu en « Al-Tambakti » en l’honneur du roc saoudien.
Hassan Al-Tambakti
52 note(s)
Gardien
Mohammed Al Owais
Plus difficile à pénétrer qu’une ambassade saoudienne.
Mohammed Al Owais
55 note(s)
Emiliano Martinez
Emili pas joli.
Emiliano Martinez
56 note(s)
Milieux
Papu Gómez
En 1962, Pelé avait Garrincha. En 1998, Zidane avait Djorkaeff. En 2022, Messi a Papu. Remplacé par Álvarez (59e), paraît-il.
Papu Gómez
57 note(s)
Ángel Di María
Le problème quand on joue à la Juventus, c’est que ça se voit aussi en sélection.
Ángel Di María
65 note(s)
Salman Al Faraj
Un capitaine qui fait un retour inespéré, qui déserte, avant de voir ses troupes se rebeller et partir à l’offensive sans lui, pour finalement l’emporter : Pétain en 1940. Remplacé par Al-Abed (46e), résistant.
Salman Al Faraj
43 note(s)
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Par Adrien Hémard-Dohain
