Plasil, comme Droopy
Il n’a pas franchement l’habitude de marquer des buts, mais depuis qu’il est à Bordeaux, Jaroslav Plasil ne s’en prive pas. Et le week-end dernier, face à Toulouse, il en a mis un beau, façon Madjer. Un truc qui a eu l’air de le rendre fou de joie.
« C’est rageant de perdre à la maison, a d’abord expliqué le Tchèque, avant de planter le décor. Mon but n’a servi à rien, donc on est très déçu. » Pour plus d’enthousiasme, on repassera ! Mais pour « Jaro » , l’essentiel était ailleurs. « Ce qui ne va pas ? Un match, il faut le jouer pendant quatre-vingt-dix minutes, et pas quarante-cinq, a-t-il répondu lorsqu’on lui a demandé ce qui clochait dans le collectif bordelais.Il faut donc absolument corriger ça. On peut dire que c’est physique, mental ou peut-être un peu tout. Je n’explique pas bien ce qu’il s’est passé… On a perdu les deux premiers matches, mais il faut être optimiste : il reste trente six journées. Il faut aller de l’avant, corriger ce qui n’est pas bien et continuer à travailler sur les points positifs. »
You know what ?
LB