Les matheux votent Brésil
Les formules, les financiers connaissent bien. On invente même des produits financiers dits toxiques avec. La Coupe du Monde, par le prisme des retombées financières, brasse un bon paquet de pognon. Alors il n’est pas étonnant de voir ces mêmes financiers chercher à tout prix le modèle mathématique prédisant le nom du vainqueur.
D’après les experts de la Danske Bank (Danemark), en compilant six facteurs (revenu national, taille de la population, tradition et histoire du football, forme actuelle de l’équipe nationale, présence de superstars et l’avantage du terrain) dans une formule incompréhensible, le Brésil serait amené à poser une nouvelle étoile sur son jersey, en battant en finale l’Allemagne, « si notre modèle est correct » précise un matheux scandinave.
Pour le moment, sur quatre modèles mathématiques inventés par les grands matheux de ce monde, trois annoncent la victoire du Brésil. JP Morgan reste le seul à prédire la réussite de l’Angleterre.
RB