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Les 29 raisons de suivre l’Euro

Par Romain Canuti
Les 29 raisons de suivre l’Euro

Les polémiques, la partie raciste de la France, les fanzones, les inondations, les arrêts préfectoraux pour interdire la retransmission des matchs en terrasse : rien n'arrêtera la grande fête de l'Euro. Parce que l'Euro, c'est des joueurs. Et il y en a des beaux.

Zlatan Ibrahimović.

S’il fait autant le malin en interview avant que la compétition ne démarre, c’est qu’il va forcément se montrer à la hauteur pendant. Il a démarré son histoire avec la France il y a quatre ans, à l’Euro, avec ce ciseau qui a fini Mexès en phase de poules. Comment la boucle va se boucler après quatre ans de règne sans partage en Ligue 1 ? Quelle victime surtout ?

Emre Can.

Il est de plus en plus monstrueux avec Liverpool. Et il a tout pour être le nouveau symbole de la maîtrise et de la sérénité allemande. Dans le dernier carré avant même de s’en rendre compte.

Dele Alli.

C’est la première fois, depuis peut-être l’éclosion de Wayne Rooney en 2004, que la sélection anglaise compte dans ses rangs un facteur X. Un joueur différent des autres qui peut tout changer par une inspiration.

Ivan Rakitić.

Il va se faire plaisir en poule avec un formidable duel contre Arda Turan et la Turquie. Car le vrai trophée que vont chercher les deux hommes, c’est une place de titulaire au Barça l’an prochain. Des coups à faire un tour de terrain à la fin.

Thomas Müller.

Il le sait très bien. Si l’Allemagne est sacrée, lui, l’anti-Ballon d’or par excellence, en sera forcément le favori. Et rien que ça…

Patrice Évra.

Desailly en 2004, Thuram en 2008, Mexès en 2012, il y a toujours un cadre défensif de la France qui se fait salement humilier en guise de sortie sur les trois derniers Euros français. Mais est-ce qu’un humain peut arriver tout seul à bout de tonton Pat’ ?

Marko Arnautović.

Le nouveau Ibrahimović. Du coup, si ça se trouve, il va aussi être comme un poisson dans l’eau quand il s’agira de montrer les muscles dans l’Hexagone sans avoir besoin de le faire ailleurs.

Ricardo Quaresma.

Il a vraiment la gueule du type qui, contre toute attente, va voler la vedette à Cristiano Ronaldo et prendre une revanche qu’il rêve depuis au moins 10 ans.

Sergio Ramos.

Avec la finale de Ligue des champions qu’il vient de livrer, il est tout à fait capable de ressortir son niveau de 2012, quand il était tout simplement aussi fort que Beckenbauer, avec un travail mental sur les arbitres digne de Pinto da Costa.

Taulant Xhaka.

La dernière fois qu’il y a eu un duel entre frères dans deux sélections différentes, c’étaient les frères Boateng au Mondial pour Allemagne-Ghana et c’était un super match.

Marek Hamšík.

Des années que le milieu doit prendre son envol, des années qu’il reste à Naples, donnant quand même un peu l’impression de stagner. Et si c’était son moment pour taper enfin dans l’œil de la Premier League ?

Hakan Çalhanoğlu.

Dès qu’il va y avoir un coup franc, ça va être une attraction comme à l’époque avec Siniša Mihajlović.

Álvaro Morata.

Avec sa dégaine de mec que l’on croit sans point fort, il peut tout à fait intégrer avec un tournoi qui marque les esprits le top 3 des attaquants mondiaux.

Emre Mor.

Jeune, Borussia Dortmund, pépite. Mais encore ? Vite, on veut voir.

Mario Götze.

Il y a deux ans, il a offert sa quatrième Coupe du monde à l’Allemagne. Mais ça paraît loin, entre-temps, il y a Guardiola qui l’a mis dans un placard doré au Bayern. S’il veut regagner son statut de petit génie et être enfin titulaire quelque part, c’est maintenant.

Breel Embolo.

Il est jeune, il est attaquant, il est suisse et il est promis à un bel avenir. L’occasion de se rappeler qu’on y avait cru, à Johan Vonlanthen.

Vidéo

Antoine Griezmann.

Il enchaîne les pubs et les interviews à une vitesse hallucinante. S’il n’est pas bon, ça va forcément se retourner contre lui.

Marcus Rashford.

Il a marqué à son premier match, sa première titularisation, sa première sélection. On ne le connaît que depuis trois mois, mais il est capable de rafler le Ballon d’or et prendre sa retraite dans la foulée. Autant en profiter.

Lorik Cana.

Des années qu’il exhibe fièrement son tatouage et l’amour de son pays, c’est le moment de finir en beauté. Et tant pis si les jambes ne suivent plus.

N’Golo Kanté.

Pour l’instant, le conte de fées est toujours en marche, N’Golo gravit les marches quatre à quatre. Mais il y a forcément un moment où il va dévoiler son côté sombre. Et il faudra être là.

Grzegorz Krychowiak.

Il s’est fait un nom en Liga en étant capable d’aller chercher Messi par exemple sur un tacle. Vu sa poule, il a l’opportunité de faire un carnage au milieu de terrain.

Gareth Bale.

Il est dans sa sélection comme Mark Landers à la Toho. Reste plus qu’à rencontrer le Portugal de Cristiano Ronaldo pour un duel melon contre pastèque.

Toby Alderweireld.

C’était sûrement le meilleur défenseur central de la Premier League cette saison. Mais il va sûrement jouer arrière droit en sélection, tout va bien.

Robert Lewandowski.

Michel Platini et son record à neuf buts sur le tournoi de 1984 peuvent trembler.

Romelu Lukaku.

Il a un titre de nouveau Patrick Kluivert à aller chercher. Et donc une place chez un très très grand club européen.

Elseid Hysaj.

Révélation en Serie A au poste d’arrière droit avec Naples, il peut encore aller bien plus haut. Et il est tout à fait capable de le prouver dès cet Euro.

Giorgio Chiellini.

L’anti-héros, le John McLane. Il ne va affronter que des mecs puissants, rapides et techniques. Il va souffrir, finir en sang, mais à la fin, c’est lui qui aura le flingue et dira « Yeepee ki-yay pauvre con »

Paul Pogba.

S’il doit être la quatrième étoile de la nation après Kopa, Platini et Zidane, c’est lors de cette compétition qu’il doit le montrer. Le potentiel est là et on est pile dans les temps.

Yannick Ferreira Carrasco.

Toutes les télés du monde vont espérer le voir marquer. Elles auront toutes déjà prévu le coup avec une caméra fixe sur Madame.

Dans cet article :
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Par Romain Canuti

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