A quelques semaines de la remise du Ballon d’Or 2012, la planète foot est en émoi. Un quadruplé de Lionel Messi ? Cristiano quatre ans après ? La surprise Casillas ? L’incroyable Falcao ?
Pourtant, il en fallait bien un pour péter l’ambiance. Domenech est celui-là : « Le Ballon d'Or, symbole de l’individualisme, ne devrait pas exister. Ou alors un par poste ! » a-t-il posté. Sur le principe même, Raymond n’a pas tort de vouloir désigner les "onze meilleurs" joueurs du monde.
La cérémonie durerait quatre heures, certes. Mais il n'y aurait plus de jaloux.
PG
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